La philosophe américaine Sue Spaid a publié plus de 100 critiques d’art et 70 essais d’expositions pour des musées et des galeries. Depuis 2002, elle a publié cinq livres sur l’art et l’écologie, dont Ecovention Europe : Art to Transform Ecologies, 1957-2017, qui accompagnait l’exposition « Ecovention Europe » au centre d’art contemporain de Sittard [Pays-Bas] en 2017. Son plus récent essai artistique est The Hills Are Alive : In Search of a Mystical Materialism, écrit pour l’exposition de l’artiste allemande Ulrika Sparre à la fondation Index de Stockholm en 2020.
American philosopher Sue Spaid has published well over 100 art reviews and 70 exhibitions essays for museums and galleries. Since 2002, she has published five books on art and ecology, including Ecovention Europe: Art to Transform Ecologies, 1957-2017, which accompanied “Ecovention Europe” at De Domijnen Hegendaags Kunst in Sittard, NL and “Ecovention Europe (Portable Version)” at Internationalen Waldkunstzentrum Galerie in Darmstadt, DE. Her most recent art essay is The Hills Are Alive: In Search of a Mystical Materialism, written for GNAP-veteran Ulrika Sparre’s 2020 show at Index in Stockholm.
Sue Spaid est une philosophe, essayiste et curatrice américaine, qui vit en Belgique. Pendant la résidence, elle donnera une conférence sur l’art et les pratiques écologiques en Europe.
En 2013, Sue Spaid a obtenu un doctorat en philosophie pour sa thèse « Travail et Monde » à propos de la philosophie de la pratique curatoriale, qui témoigne de son expérience de 25 ans en tant que critique, galeriste, conservatrice, et directrice de musée. Elle va prochainement publier son premier livre de philosophie « La philosophie de la pratique curatoriale », le premier livre de philosophie sur ce sujet. Elle est rédactrice en chef adjointe de la revue « Aesthetic Investigations », et ses articles ont été repris et cités dans de nombreux livres et articles sur l’art. En 2019, Sue travaille en tant que curatrice à « Climate Surprise » pour Windowbox à Malines, Belgique, à « Quoi de plus réel que la chair ? » pour la Galerie Nan Rae à Los Angeles, et à « Fingers Crossed : Ahora, Ayer y tal vez Mañana », à Barcelone, en Espagne.